Le capitaine Nejat Berkoz, son copilote Ulusman orale et l’ingénieur de vol Huseyin Ozer
Les voix: «Oups. Oh, Oh !! “.
(A ce moment précis, les pilotes ignorent que six passagers ont été expulsés de l’appareil, et de fait vont vivre une minute de plus que les autres passagers du vol).
L’alarme s’arrête.
Plus neuf secondes.
Berkoz: «Que s’est-il passé?”
Ulusman “La cabine est dépressurisée”
Onze secondes
Berkoz: “Etes-vous sûr?”
Seize secondes.
Berkoz: “Relèves-le! Relève-lui le nez !”.
Ulusman: “Je ne peux pas le remettre en ligne, il ne répond pas.”
Vingt-trois secondes.
Une voix non identifiée (probablement Ozer): “Pas de réaction.” Une autre voix (probablement Ulusman): “Sept mille pieds.”
Bruit d’alarme, les avertissant que l’avion a dépassé la vitesse limite maximale.
Trente-deux secondes.
Berkoz: “Hydraulique?” Une autre voix (probablement Ulusman): “Nous l’avons perdu. . . Oups. Oups “
Cinquante quatre secondes.
Berkoz: “je crois que nous allons touché le sol.”
Cinquante six secondes. Berkoz: “Vitesse”.
Soixante et un seconde
Soixante-dix sept secondes. Bruit de l’impact initial.
Pendant les dernières secondes avant l’impact, il a été relevé que le (ou les pilotes) ont commencé à siffler un air populaire turc dont les titre est «Je me demande ce que c’est »
Le DC-10 n°29 heurte le sol à 497 milles à l’heure (soit 800 km/heure) dans une petit vallon dît de Dammartin, dans la forêt d’Ermenonville à la périphérie de Paris.
Richard Bolai / Bruno Druesne © 2008
No comments:
Post a Comment