A pilot’s last words

The crew from the ill-fated DC-10

Le vol THY981 décolle piste 08 à Orly à 12,30. Nous sommes le 3 Mars 1974.

Le capitaine Nejat Berkoz, son copilote Ulusman orale et l’ingénieur de vol Huseyin Ozer

Les voix: «Oups. Oh, Oh !! “.

(A ce moment précis, les pilotes ignorent que six passagers ont été expulsés de l’appareil, et de fait vont vivre une minute de plus que les autres passagers du vol).

L’alarme s’arrête.
Plus neuf secondes.
Berkoz: «Que s’est-il passé?”

Ulusman “La cabine est dépressurisée”

Onze secondes

Berkoz: “Etes-vous sûr?”

Seize secondes.

Berkoz: “Relèves-le! Relève-lui le nez !”.

Ulusman: “Je ne peux pas le remettre en ligne, il ne répond pas.”

Vingt-trois secondes.

Une voix non identifiée (probablement Ozer): “Pas de réaction.” Une autre voix (probablement Ulusman): “Sept mille pieds.”

Bruit d’alarme, les avertissant que l’avion a dépassé la vitesse limite maximale.

Trente-deux secondes.

Berkoz: “Hydraulique?” Une autre voix (probablement Ulusman): “Nous l’avons perdu. . . Oups. Oups “

Cinquante quatre secondes.

Berkoz: “je crois que nous allons touché le sol.”

Cinquante six secondes. Berkoz: “Vitesse”.

Soixante et un seconde

Soixante-dix sept secondes. Bruit de l’impact initial.

Pendant les dernières secondes avant l’impact, il a été relevé que le (ou les pilotes) ont commencé à siffler un air populaire turc dont les titre est «Je me demande ce que c’est »

Le DC-10 n°29 heurte le sol à 497 milles à l’heure (soit 800 km/heure) dans une petit vallon dît de Dammartin, dans la forêt d’Ermenonville à la périphérie de Paris.

The cockpit of one of the two surviving Turkish DC-10

Richard Bolai / Bruno Druesne © 2008

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